La réouverture des frontières, la reprise des vols aériens, l’allégement des conditions d’accès sur le territoire tunisien et l’arrivée des premiers groupes de touristes confirment sans doute la déclaration du Ministre du tourisme de faire de la Tunisie « une destination Covid Safe ».
Ambition d’autant plus légitime que les autorités du pays compte énormément sur la reprise du secteur touristique pour impacter une quelconque relance de l’activité économique face à une crise qui s’éternise.
La campagne de vaccination spécifique au personnel de la filière entend participer de cette logique de réunir le plus de conditions possibles à l’amélioration de l’environnement sanitaire du secteur, de ses établissements et de ses acteurs.
Destiné à une cible étrangère encore soucieuse des risques de la pandémie, les autorités du secteur auraient sans doute plus de crédibilité à aller au-delà des déclarations et Ã
L’Union Africaine multiplie les contacts avec les pays membres pour donner corps à l’Agence Africaine du Médicament (AMA).
Un vieux projet que tout plaide en sa faveur en raison des données démographiques, économiques, sociales et sanitaires propres au continent.
Avec 17 % de la population du monde, l’Afrique représente aussi un quart de la morbidité mondiale, seulement 6 % des dépenses de santé et à peine 1% du marché pharmaceutique mondial.
Pis encore. L’Afrique qui ne produit que 3 % des médicaments consommés par ses habitants semble être la destination de la plus forte prévalence de médicaments non conformes aux normes et de mauvaise qualité dans le monde.
La crise de la Covid 19 aurait amplifié les besoins urgents et impérieux de la plupart des pays africains en matière de politiques de santé, d’in
Sur sa page officielle, le Ministère de la Santé vient d’annoncer avoir atteint le cap d’un million de vaccinés. Par ailleurs plusieurs autres sources proches des autorités sanitaires (Pharmacie Centrale, Institut Pasteur) confirment l’accélération du rythme des commandes de vaccins et la programmation d’arrivées d’importantes commandes pour les prochaines semaines.
La crédibilité de ces informations est porteuse de certaines avancées dans la lutte contre le virus mais aussi d’espoirs certains dans la perspective de la reprise d’une vie normale, d’une relance de l’activité économique et de l’ouverture progressive du pays aux mouvements et flux avec l’étranger.
Partant d’une connaissance des quantités de vaccins commandées, du rythme des inscriptions à la vaccination, et des moyens disponibles – éléments qui semblent maitrisés -, la campagne de vaccination pourrait changer complétement de visage avec , à la clef , des chiffres encore plus rassurants.
Depuis la réouverture des frontières à la fin du mois d’Avril 2021, la cadence d’atterrissage des avions dans les aéroports tunisiens monte en crescendo au grand soulagement des hôteliers touchés de plein fouet par la crise pandémique.
L’accélération des campagnes de vaccination dans les pays émetteurs de touristes rassure à la fois les autorités sanitaires locales que les opérateurs de la filière touristique de l’amorce d’une reprise soutenue de cette activité si importante pour l’économie nationale.
Même avec des taux d’occupation de 50% en raison des restrictions sanitaires, le tourisme semble reprendre de ses couleurs avec une animation certes limitée par les mesures préventives toujours utiles et appréciées par les visiteurs mais porteuse de grands espoirs pour sauver la saison et si tout va bien se préparer pour le monde d’après.
C’est en tous cas l’ambition que caressent à la fois les opérateurs touristiques,
Avec la crise économique générée par les implications de la pandémie, les pays à vocation touristique ne seraient pas prêts à vivre une deuxième saison touristique en berne.
Dans une tentative de relance de l’activité économique par un retour progressif à la circulation des personnes et à la reprise des vols aériens, certains pays dont ceux de l’Europe du Sud, s’apprêtent à exiger le passeport vaccinal ou le pass sanitaire aux passagers entrant sur leur territoire.
Une mesure qui, au-delà de son aspect préventif, s’inscrit dans une démarche de retour à la normale de la vie sociale et de la reprise économique par la dynamique que susciterait les activités et secteurs liés au tourisme.
Quand on connait l’importance de la filière du tourisme dans des pays comme l’Espagne, la France, la Grèce ou l’Italie, on comprend dès lors la portée de cette exigence sur les perspectives de relance souhaitées.
Ce Code éthique définit les principes et valeurs fondamentales auxquels sociétés du groupe SMEDI adhèrent et s’engagent unilatéralement à les appliquer dans la pratique quotidienne de leurs activités.
Le mot SMEDI englobe et engage dans tous ce qui suit toutes les filiales du groupe SMEDI, ses agents et ses collaborateurs.
Il est susceptible d’être modifié afin de s’adapter aux évolutions notamment réglementaires.
Les valeurs fondamentales sous entendant ce code sont
L’humanité, l’intégrité, le respect de la personne, le respect de l’intégrité physique des patients, la bienveillance, l’honnêteté, le respect de la multi culturalité, le respect des lois et des règlements et le professionnalisme.
Le respect
En dépit de la persistance de la crise sanitaire, la réouverture des frontières nourrit des espoirs chez les professionnels du tourisme, à l’arrêt depuis plus d’un an.
Le sentiment est partagé par les professionnels du tourisme de santé impactés eux aussi par la fermeture des frontières et les restrictions de voyages.
L’allègement des conditions d’accès des personnes malades arrivant en Tunisie et la tendance des indicateurs sanitaires, si elle se confirme, devraient être perçus comme un signal porteur d’espoirs pour la reprise de cette activité fragilisée du reste par des limites structurelles et réglementaires.
Mais cela ne saurait assurer une relance soutenue des activités de la filière du tourisme en général et du tourisme de santé en particulier sans une refonte totale de leur environnement général et de leurs cadres législatif et réglementaire spécifiques.
Docteur Pascal Douek est médecin, micro nutritionniste et médecin de sport. Il a écrit un livre sur les secrets de la longévité.
Il livre ici une bonne dizaine de conseils pour bien vieillir.
- Adopter un chien et gagner dix années de vie en bonne santé. Des études ont démontré qu’adopter un animal conduit son propriétaire à être plus actif au quotidien. Le niveau d’activité serait ainsi 20 % plus élevé.
- Prendre les escaliers : Plus on monte des marches plus notre cerveau reste jeune. Ça aussi, c’est confirmé par les recherches. Etrangement, les escaliers sont plus évalués par les chercheurs que d’autres types d’exercices physiques exigeants comme la nage, le tennis ou la course.
- Marcher d’un pas rapide pour aller vite dans la vie. En 2017 , une étude a démontré que les personnes d’âge moyen qui marchaient lentement avaient un risque deux fois plus élevé de décès par maladie cardio vasculaire que les marcheurs rapides .
- Faire du Tai-Chi pour plus de vitalité et d’équilibr
SMEDI confirme sa vocation africaine en cherchant depuis des années à diversifier son portefeuille de partenaires dans le continent.
Auréolé de ses références d’accompagnement des soins mais aussi de conseil de certains pays africains en matière de stratégies de développement des politiques de santé , le Groupe vient de monter un partenariat avec un fonds social des forces de sécurité et de la protection civile de la République de Guinée .
L’accord stipule l’évacuation, le transfert, l’accueil, la prise en charge et l’accompagnement des fonctionnaires guinéens du Ministère de la Sécurité et de la Protection Civile dans leurs parcours de soins en Tunisie.
Pour la partie guinéenne l’accord a été motivé par la réputation du Groupe SMEDI en Afrique confirmée par la qualité de ses prestations et services appréciée par les nombreux patients africains qui ont en fait l’expérience.
Avec la perte progressive d’autonomie et d’indépendance, les personnes âgées doivent apprendre à se repositionner dans leur cercle social et dans la société.
Ce n’est pas toujours facile.
C’est pourquoi, il faudrait savoir les accompagner dans les changements liés à la vieillesse, avec patience, respect et dignité.
Savoir anticiper
Même s’il est impossible de tout prévoir à l’avance, il faudrait engager des discussions avec la personne âgée pour favoriser d’une part sa sérénité et d’autre part pour lui donner l’impression de contrôler sa vie en participant à la prise de décisions.
Il lui sera ainsi plus facile d’accepter les changements et les nouvelles aides p