Sans doute, la pandémie de la Covid 19 a-t-elle marqué de son empreinte l’année 2020 par ses ravages, ses impacts sociaux, économiques et culturels ainsi que par les rapports de l’humanité entière à la question de la santé.
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Malgré un bilan chaotique en termes de pertes de vies humaines un peu partout sur la planète, les systèmes de santé de tous bords ont essayé tant bien que mal de s’adapter à l’ampleur du phénomène et parfois même d’anticiper l’avancée du virus par des mesures et dispositions qui n’ont pas toujours suscité l’adhésion de l’ensemble des populations.
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En Tunisie, et en dépit d’une conjoncture économique difficile et d’une situation politique tendue, le comportement des pouvoirs publics et des acteurs publics et privés de la santé a été manifestement à la mesure de la gravité de la menace épidémique grâce notamment à la mobilisation infaillible du corps médical et paramédical et à leur dévouement infaillible face à la crise.
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Dans ces épreuves difficiles, jamais la question de la santé dans toutes ses dimensions scientifique, humaine et économique n’a été autant au cœur des réflexions, des débats et des préoccupations. Une remise en cause globale qui n’aura exclu aucun intervenant de la filière pour que la santé demeure la finalité ultime de toute œuvre humaine, de toute entreprise sociale et économique et de tout engagement politique.
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 Il en sera ainsi pour SMEDI, toujours au diapason des mutations de son environnement sanitaire national et international. Ses investissements en matière de certification qualité, de formation du personnel et de modernisation de ses sites de soins et d’hébergement participent de cette logique implacable que « Rien ne vaut la santé de ses patients ».
L’année 2021 sera assurément avec tous espoirs qu’elle laisse entrevoir.